Aujourd’hui et demain, les fêtes de Une grande foire agricole en pleine ville avec au programme des démonstrations équestres, présentation de chevaux de trait et conduite de tracteurs. Ce n’est pas la première fois que la ville met à l’honneur le monde agricole dans le cadre des festivités de L’arrondissement se divisait en trois parties. Le Bas-Pays, vaste pleine humide au Nord de Béthune permettait une culture intensive dont les rendements dépassaient les moyennes courantes. Le Haut pays situé à l’Ouest de Béthune possédait un sol sec qui donnait aussi de bonnes récoltes. Enfin, la plaine de Lens, au sud est de la cité de Buridan, était constituée d’un sol peu riche qui « a cependant pu être rendu fertile, grâce à la ténacité et à l’intelligence d’un grand agriculteur… ». On n’en attendait pas moins de la part d’un guide de valorisation touristique ! Au-delà de ces considérations très « terre à terre », on peut s’interroger sur la situation de l’agriculture béthunoise en 1932. Avec 8000 fermes et Cette vision idyllique de l’agriculture locale n’est-elle pas exagérée ? Est-elle en phase avec la situation agricole dans le reste du pays ? En fait, dès 1931, la crise financière touche A. Willay (parution dans
L'agriculture, une richesse béthunoise en 1932
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